dimanche 4 mai 2014

happiness is like a sunny day

25 épisode d'environ 40 minutes

Casting : 
Janine Zhang
Mike He 
Li Yi Feng
Li Jin Ming

Synopsis :
Xiang Yun Jie est l'archétype même de l'homme riche et macho. Il s'agit d'un patron maniaque qui n'hésite pas à utiliser son arrogance pour se faire respecter de son personnel même s'il génère chez eux de la peur.
Fang Yong Yong est une jeune femme issu d'un milieu modeste qui travaille comme femme de ménage dans un grand hôtel. A la mort de sa mère, son père la laisse dans un orphelinat avant de venir la reprendre sept ans plus tard. Loin d'avoir affaibli notre jeune héroïne, cette expérience l'a rendu plus forte et lui a donné une nouvelle famille.
Un beau jour, le chemin de Yong Yong croise celui de Yun Jie. Ils s'aperçoivent qu'ils sont employeur et employée. Ils n'arrêtent pas de se disputer jusqu'au jour où l'orphelinat est menacé. Yong Yong apprend que son patron veut mettre à la porte les enfants de l'orphelinat. Elle est prête à tout pour empêcher cela, même à se marier avec Yun Jie pour lui permettre de récupérer son fils.
Que va devenir cette relation qui a déjà sa date de fin avant même d'avoir commencer ? Comment espérer voir cette relation se construire quand on sait que des anciens amours refont surface ?

Mon avis :
J'ai aimé et bien plus que ça. Comment vous donner envie de le regarder ? En mettant une note peut être : 9/10.
Je ne dirais qu'une chose : Mike He. Il est simplement sublime ici, bien mieux, à mon sens, que dans Why why love ou encore Devil beside you. Il campe ici un personnage qui nous propose une palette d'émotions qui donne dans le vrai contrairement à dans les deux autres drama. Tout le drama repose sur les sentiments vrais que ressentent les protagonistes au contraire de l'intrigue qui elle donne dans le surjeu. Ici, Mike He peut faire étalage de son véritable talent et ne pas être too much comme dans ses autres rôles. Grâce à ce rôle il est remonté dans mon estime et sans être dégoûtée par son jeu j'ai pu apprécier son physique à sa juste valeur. Vous trouverez sans doute des détracteurs qui vous diront le contraire, c'est-à-dire qu'il interprète son personnage sans aucune émotion. C'est faux ! On ne peut qu'être séduit par l'évolution de la personnalité de Yun Jie qui gagne en maturité dans le drama. En outre, les rôles un peu plus matures sient bien à sir He.
Janine Zhang, je la trouve trop belle avec ses grands yeux qui vous chavirent le coeur. Elle est touchante dans son rôle et vous entraîne dans son univers. On s'attache à elle d'emblée, car comme la plupart des actrices taiwanaises elle a ce côté attendrissant et fofolle qu'on aime tous chez ces actrices de talents. Elle interprète le rôle de Yong Yong avec brio. En voyant ce drama je me disais que je l'avais déjà vu quelque part et c'était vrai. J'ai eu l'occasion de la voir dans Black & White où je m'étais déjà attachée à son personnage. C'est une actrice qui promet et j'ai hate de la voir dans d'autres dramas. 
L'histoire en elle même est très banale car reprend grossièrement l'histoire de cendrillon, mais les acteurs nous entraînent petit à petit à vivre avec eux les émotions des personnages qu'ils interprètent. On peut, par exemple, s'attacher au personnage interprété par Li Jin Ming avant de la trouver insupportable et de l'aimer à nouveau. Tous ces personnages ont des caractères bien trempés qui séduisent les petit et les grands.
A voir pour tous ceux qui doutent encore du talent taiwanais !

They kiss again

Casting : 
Ariel Lin
Joe Cheng
Jiro Wang

Nombre d'épisodes :
20 d'1h environ

Synopsis :

Zi Shu et Xiang Quing se sont enfin mariés. Après une lune de miel pleine de rebondissements, ils reprennent la route de la fac. Le premier pour devenir médecin et la seconde infirmière. On pourrait croire qu'après les épreuves passées, ils vivent une vie conjugale sans problème, mais c'est mal connaître le couple. Ils vont devoir faire face à l'arrivée de rivaux et apprendre à gérer le caractère de l'un et de l'autre pour enfin vivre heureux.

Mon avis :

J'ai trop adoré et je lui mets 10/10. Cette suite de It started with a kiss est presque aussi drôle. Les protagonistes nous attendrissent et nous séduisent comme dans la première saison. La vie des autres personnages sont développées ce qui nous donne des histoires annexes tout aussi délirantes et émouvantes.
Le jeune couple apprend petit à petit à s'apprivoiser et lutte ensemble ou l'un contre l'autre. Zi Shu apprend à dévoiler ses sentiments tandis que Xiang Quing apprend à devenir indépendante.
Zi Shu reste l'homme idéale même s'il m'agace quand il ne comprend pas les peurs de sa femme. Xiang Quing pleure toujours autant, mais cela reste attendrissant.
Je le conseil pour tous les fans de drama très drôles.
Ici, les calins sont autorisés ce qui rend le drama un peu plus coquin (lol).
A voir et à revoir pour le plus grand plaisir des petits et des grands.

Love never dies

Genre : romance, science-fiction
Nombre d'épisodes : 11
Acteurs : Dome Pakorn Lum (Tripoom)
                    Ploy Chermarn Boonyasak (Paichut)

Synopsis : 
Paichut décide d'arrêter ses études afin de reprendre l'affaire de son père, mort depuis peu, et de payer l'opération de sa mère pour qu'elle retrouve la vue. Son père était restaurateur d'objets rares. C'est pourquoi la jeune femme écume les ventes aux enchères afin de démarcher d'éventuels clients.
Lors de l'une de ces ventes, elle tente d'approcher le richissime Tripoom qui collectionne les objets de la dynastie Ming, mais le jeune homme l'évite comme la peste. Il finit cependant par l'engager car il a travaillé par le passé avec le père de cette dernière.
Leur collaboration commence mal. L'employée est trop curieuse et l'employeur a de lourds secrets. En effet, il se trouve être victime d'une malédiction et est devenu un vampire.
Petit à petit, Paichut tombe amoureuse de Tripoom qui lui, doit tout faire pour la protéger d'autres vampires.

Mon avis :
Ce n'est pas mon lakorn préféré, mais je me suis beaucoup amussée à visionner celui-ci. Je viens juste de le finir et je regrette qu'il n'ait pas été un peu plus long. Je lui mets un 7.5/10.
Il change des lakorn que j'ai vu jusqu'à présent, mais aborde toujours le même thème : la quête de l'amour et du bonheur.
J'ai cru déceler ici la reprise du mythe de la belle et la bête, même si je dois avouer que la bête est incroyablement beau ( ça c'est clair). Pour les amateurs, ils reconnaîtront une pâle copie de Vampire diaries ou encore Twilight, mais transposez l'histoire d'amour d'adolescent dans un monde un peu plus adulte. On y retrouve tous les ingrédients d'une histoire de vampire. D'un côté on a les gentils qui sont tous très sexy et qui ont une mission bien précise, de l'autre les méchants, moins sexy mais pas mal quand même, qui veulent tuer les gentils et au milieu il y a les humains attendrissants de bêtise.
Le point fort de ce lakorn, son casting. L'actrice comme l'acteur principaux sont incroyablement beaux. Le jeu de Ploy est divertissant car pleins de mimiques, celui de Dome est pas mal non plus. Sans avoir énormément de répliques, il arrive à marquer le lakorn rien que par sa présence et surtout par sa voix sur l'ost. Juste une chose à dire encore, son physique m'a réellement marquée, chose rare chez les acteurs thaï. Il est superbe de virilité dans ce rôle et ses mimiques sont trop attendrissantes.
Le point faible, le scénario. L'histoire aurait pu être attrayante si les scénaristes avaient développé d'avantage les autres personnages, et exagéré un peu moins les émotions des protagonistes. Autre point négatif, le manque de réalisme de certaines scènes de combat (c'est vraiment nul quand on sait qu'il s'agit d'un pays asiatique). 
Je tiens à prévenir les impatients, bien que l'histoire d'amour ici est bien développée, vous verrez le premier baiser que dans le onzième épisode (je sais c'est malheureux), mais ils sont si attendrissants à se chercher que ça gomme tout le reste.
Les autres personnages auraient du être plus développés ça aurait donné une dimension plus dramatique au lakorn.
Bref, moi j'ai bien aimé malgré tout et je le conseil à tout ce qui veulent voir un peu de nouveau chez nos amis les Thaïlandais.