lundi 21 mai 2018

Waves of life (Kluen Chiwit)



14 épisodes

année 2017

Cast
Prin Suparat
Urassaya Sperbund
Louis Scott

OST


Synopsis

Jee est une jeune et riche actrice adulée par tous, mais qui n'a pas une vie de rêve. En effet, sa mère, après avoir mené une mauvaise pour subvenir à ses besoins, a épousé un homme riche qui harcèle sexuellement sa fille.
Suite à une tentative de viol où Jee a été droguée par son beau-père, la jeune femme prend le volant et renverse une jeune femme. Cette dernière se trouve être la fiancée d'un avocat qui a déjà croisé le chemin de notre héroïne, Sathit. Le jeune homme pense qu'elle était ivre au moment des faits et lui reproche de vouloir faire porter le chapeau à un de ses assistants.
Sathit décide de la harceler pour lui faire admettre la vérité, mais grâce à l'intervention de la mère de sa défunte fiancée, il renonce à se venger. Cependant, Piak, la soeur de Sathit, persudée que son mari la trompe avec Jee, demande son aide pour éloigner l'actrice. Le harcèlement recommence alors.


Mon avis :

Un lakhorn qui a réussi le pari fou de me faire renouer avec ma dramamania. Un slap & kiss rafraîchissant qui a réussi à me faire rire, sourire et effacer mes soucis. Un bon 8,5/10.
Je sais que je n'ai pas écris depuis plus d'un an, mais j'ai mes raisons. J'avoue ne pas avoir énormément de temps, ayant de nouveaux hobbies, mais surtout à cause d'un manque d'intérêt. Il est vrai qu'en ce moment les kdrama me passionnent moyennement car trop surannée pour mon coeur meurtri (lol), mais en ce moment j'ai besoin d'évasion dans un monde violent, mais où l'amour fini néanmoins par triompher.
Dans ce lakhorn, comme souvent, je n'ai pas été touchée par les ost, mais j'ai apprécié la qualité de l'image, la trame de l'histoire, le jeu des acteurs et le fait que pour une fois un slap & kiss ne se solde pas par un viol. Non, non, ici on se violente, on se cherche, on se dispute, mais on ne viole personne. Si on finit cependant par avoir une relation sexuelle entre nos deux protagonistes, c'est avec leur consentement, même si c'est un chantage qui est à l'origine de tout. A voir pour comprendre, car au moment de l'acte, nos deux personnages sont déjà épris l'un de l'autre et ne cèdent qu'à l'attraction qu'ils ont l'un pour l'autre. 
Prin Suparat interprète Sathit. Alors, j'avoue que sa petit bouille de chérubin m'a un peu dérangée. Son faciès ne rend pas service à son personnage dans les scènes de vengeance. Heureusement que son talent est là pour y remédier. Prin donne à Sathit un aspect très humain, très proche du téléspectateur. Il arrive à nous attendrir, mais surtout à nous faire apprécier les personnages qui gravitent autour de lui. A commencer par Priak, sa soeur de coeur qui est une vraie peste et dont la voix m'insupportait tout au long du lakhorn. 
Urassaya Sperbund, ou YaYa, interprète Jee. L'actrice est tout simplement sublime. Elle donne à son personnage une classe folle, mais aussi une innocence nécessaise à l'évolution de Jee. Le jeu est juste tout au long, et elle arrive même à nous toucher. En tout cas moi elle m'a touchée dans les larmes, dans l'expression de sa solitude malgré l'amour de ceux qui l'entourent. Jee est un personnage complexe qui nous plaît qu'elle donne dans l'arrogance, dans la générosité ou encore dans la fragilité. C'est un personnage altruiste qui aime les autres plus qu'elle-même et c'est cet altruisme qui finit par la blesser.
Contrairement à ce que je pensais, ce lakhorn était un slap&kiss plutôt gentillet et moins violent, moins atroce que tout ce que j'ai pu voir jusque là chez nos amis thaïs. Ce que j'ai aimé aussi ici, c'est la vraissemblance et la justesse du jeu des acteurs. Petite mention spéciale pour le couple secondaire qui m'a fait sourire tout du long.
Je dois avouer que ce que j'ai le plus aimer dans ce lakhorn ceux sont les tenues de Yaya. J'ai aimé toutes les robes, toutes les combinaisons, toutes ses coiffures aussi. Cela m'a même donné envie de faire du shopping.



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